Les vaccins et leurs effets

Indépendamment du sens ou du non-sens des vaccinations, que l'on soit pour ou contre, celui qui connaît la Biologie Universelle, mais aussi celui qui se pose simplement des questions et suit son bon sens, constatera rapidement que les vaccinations comportent certains risques.

 

Adjuvants

Les vaccins, quel que soit l'"agent pathogène", contiennent des adjuvants, des additifs et des substances auxiliaires qui sont soi-disant utilisés pour la conservation et la stimulation immunitaire. De quelles substances s'agit-il ? Les différents vaccins ne contiennent pas toujours toutes les substances mentionnées ci-dessous.

  • Le thimérosal/thiomersal est composé pour moitié de mercure, il est très toxique et endommage les nerfs et le cerveau.
  • Glutamate monosodique, nocif pour les nerfs et le cerveau. Souvent déguisé en extrait de levure.
  • Hydroxyde d'aluminium, phosphate d'aluminium et sels d'aluminium, co-causes possibles de la démence et de la maladie d'Alzheimer.
  • Caséine, une protéine du lait.
  • Formaldéhyde, substance nocive pour le cerveau et cancérigène.
  • Acide citrique E333, augmente l'absorption d'aluminium dans le corps, est produit à partir de moisissure noire.
  • Néomycine, un antibiotique, risque de tachycardie et de vomissements s'il pénètre dans la circulation sanguine.
  • Acétone, un solvant toxique.
  • Composants animaux : sérum de tissu fœtal bovin, cellules rénales de singe, blanc d'œuf de poule, gélatine.
  • Composants humains : albumine humaine (protéine humaine dans le sang), cellules diploïdes humaines provenant de fœtus humains avortés.

Source : Video d'Epoch Times Deutsch, du 26.02.2019 

 

En outre, on a pu constater dernièrement une présence accrue de glysophate (poison végétal). En bref, nombre de ces additifs ont un effet toxique et n'ont tout simplement pas leur place dans un corps humain et encore moins dans celui d'un nouveau-né ou d'un nourrisson.

 

Souvent les 'agents de conservation', les nanoparticules, les sels d'aluminium, etc. contenus dans les vaccins sont transportés par les nerfs jusqu'au cerveau et s'y accumulent.

Remarque: Selon le Dr Stefan Lanka, la fameuse barrière hémato-encéphalique n'existe pas. (Magazine WissenSchaftPlus, 3/2016)

Neil Z. Miller écrit dans "Kritische Impfstudien" (études critiques sur les vaccins) : Dans la 4e étude, des scientifiques ont administré à des bébés singes des vaccins pédiatriques adaptés à leur âge, conformément au programme complet de vaccination des enfants recommandé par les États-Unis. Les primates vaccinés présentaient des anomalies dans la région du cerveau qui affectaient le développement social et émotionnel, ainsi qu'une augmentation significative du volume total du cerveau. Une augmentation accélérée du volume cérébral total entre le 6e et le 14e mois de vie est une constatation concordante chez de nombreux enfants atteints d'autisme".

Les tissus nerveux et cérébraux sont les premiers touchés et présentent les plus fortes conséquences des effets toxiques, car ils sont de loin les tissus les plus actifs sur le plan métabolique de tout le corps. Ils ont un métabolisme énergétique de plus de 30% supérieur à celui des tissus et des cellules du foie, par exemple.

 

Réaction à la vaccination

Ce qui est présenté comme une réaction officiellement juste à la vaccination, comme par exemple de la fièvre, des douleurs, des rougeurs à l'endroit de la piqûre, etc. est en fait la réaction de l'organisme qui se "confronte" à l'intoxication et essaie de réparer les dommages. Pour réparer les dommages survenus, le corps a besoin de beaucoup de protéines, raison pour laquelle on constate une augmentation massive des protéines sur le plan biochimique. Celle-ci s'explique bien par la biologie universelle. Elle n'a rien à voir avec le 'système immunitaire' ou un 'virus', mais se produirait également si seuls les adjuvants étaient injectés dans le corps.

Remarque : Les quantités de toxines contenues dans la plupart des vaccins sont suffisantes pour tuer un adulte sur le coup si le mélange est injecté par erreur dans une veine au lieu d'être injecté dans un muscle. (Magazine WissenSchaftPlus, 3/2016)

 

Empreintes et effets physiques

Selon l'intensité avec laquelle l'enfant a vécu l'administration de vaccins et ce qu'il a ressenti à cette occasion, les empreintes les plus diverses peuvent apparaître et des processus biologiquement nécessaires peuvent alors s'enclencher dans son corps, ce qui provoque par la suite différentes "maladies".

Les bébés et les enfants perçoivent plus souvent que les adultes l'administration de vaccins comme une menace existentielle (violence, douleur, perte de confiance envers la mère). Selon comment cette expérience est perçue, selon les conflits biologiques qui se déclenchent alors, des symptômes apparaissent immédiatement : paralysie, problèmes respiratoires et circulatoires, troubles digestifs, modifications du comportement et du caractère comme l'autisme par exemple. D'autres 'processus biologiquement nécessaires', en revanche, ne présentent leurs symptômes et troubles typiques (de la méningite à la mort subite du nourrisson) que des semaines ou des mois après leur déclenchement, à savoir lorsque l'enfant, ou ses parents, se sentent à nouveau en sécurité (par exemple quand les autorités officielles annoncent qu'un danger est écarté).

Outre les symptômes physiques, l'enfant est marqué psychiquement par le processus de vaccination, ce qui se répercute à son tour sur sa vie et son comportement.

Exemples :

  • Si l'enfant a été maintenu de telle façon qu'il ne pouvait plus bouger, cela peut induire un conflit moteur. Celui-ci peut engendrer des sentiments d'impuissance, un refus de contact et de la colère envers la personne concernée ou envers des personnes étrangères du même sexe ou métier. Si le conflit est profondément ancré, des paralysies et des spasmes peuvent apparaître plus tard au niveau physique.

 

  • Si l'enfant a été surpris par l'injection, un conflit de peur ou de territoire est possible. Ayant été effrayé, il devient désormais anxieux lorsque quelqu'un s'approche de lui, ou qu'il est soumis à des conditions de lumière, des odeurs ou des bruits similaires que lors de cet événement traumatisant. Il ne se sent plus en sécurité dans son propre espace de vie. Tant que la situation n'est pas clarifiée sur le plan énergétique et psychique, il reste dans un état de peur d'être à nouveau bafoué dans son intégrité à tout moment par une transgression.

 

  • Si l'enfant a résisté à la vaccination, il peut en résulter un diabète dans le cas le plus extrême. Comme empreinte psycho-énergétique, on trouve une impuissance "de toute façon, je ne peux rien faire contre ça", un "je dois me rendre" ou au contraire il peut vouloir "s'opposer à tout ce que maman demande désormais".

 

  • S'il existe déjà un conflit de territoire (l'intégrité de l'enfant n'a pas été respectée) datant de la grossesse ou de la naissance et que l'enfant a eu une peur bleue à cause de la piqûre, il peut en résulter dans le pire des cas un autisme. Tout dépend de l'intensité avec laquelle l'enfant vit l'intervention médicale, ce deuxième conflit dans son système, et de la manière dont il se sent encore en sécurité auprès de sa mère, ou comment la mère l'accompagne dans ce processus.

 

  • S'il y a un conflit d'identité et que l'injection a été vécue comme une intrusion dans son propre territoire, il en résulte une constellation bio-agressive. Selon l'intensité vécue, l'enfant peut avoir par la suite une tendance à s'automutiler.

 

  • Si la piqûre a été vécue comme une attaque/agression, une fois que l'enfant s'est remis de ce qu'il a vécu et qu'il est à nouveau en sécurité, il apparait un zona.

 

L'expérience de la vaccination, avec toutes ses sensations conflictuelles, laisse des traces non seulement sur le plan physique, mais aussi sur le plan énergétique et psychique. Il se peut ainsi que certaines parties de l'âme soient 'gelées' ou dissociées. Les drainages habituels des toxines des vaccins et les remèdes pour soulager les symptômes ne peuvent alors avoir qu'un effet limité, car la partie psychique qui aurait en fait besoin de guérison n'est pas accessible dans la matière (sels de Schüssler, remèdes anthroposophiques et homéopathiques, ...). Il faut toujours commencer par trouver et clarifier le conflit intérieur, c'est-à-dire le sentiment de l'âme lors de cet événement.

 

Le mieux et le plus sain pour un nouveau-né, un nourrisson et un enfant serait de l'épargner totalement d'une telle intervention.

 

Et qu'en est-il de la protection contre les dangereux virus et maladies infantiles ?

Ici, je t'invite à te pencher sur la biologie universelle. Tu trouveras des liens ci-dessous.

 

 

Articles, liens, ...

Autour des vaccins

Film VAXXED (angl.), VAXXED I "La vérité choquante !?"(2017) - https://www.dailymotion.com/video/x6jplbs , VAXXED II "The people's truth"(2020) - https://www.imdb.com/video/vi628080409/

ReinfoSante  sous la rubrique Réinformation/Enfant

Teneur en aluminium des vaccins

Composants des vaccins

 

Autour de la Biologie Universelle

Les 5 lois de la Biologie Universelle : http://3minsante.blogspot.com/ ou directement sur PermaSanté : https://www.youtube.com/@PermaSante/videos

Des bonnes bases à ce sujet se trouves aussi sur https://french.disease-is-different.com.

 

Source d'inspiration de l'article

Die Ursachen von Kinderkrankheiten, Ursula Stoll